Le Marché des Chefs a invité les plus grands chefs belges et luxembourgeois à créer des plats autour du caviar Mailian-Maïlov. De la magie dans les assiettes…


Le caviar est l’un des produits phares du Marché de Chef, haut lieu de la cuisine gastronomique et gourmande. Et pour cause : héritage de la famille Mailian depuis plus de deux siècles, il fait référence auprès de tous les connaisseurs. Inventeur du caviar frais et peu salé dit Malossol, la famille Maïlov-Mailian a été le fournisseur des tsars sur plusieurs générations. Comment s’étonner qu’en 2013, le regretté Jean Mailian ait créé un caviar éponyme dont la dégustation dépasse la simple expérience gustative.

Il y avait – comment dire ? – un parfum de magie dans les assiettes…

Aujourd’hui, le caviar Mailian (qui rappelle le goût des grands caviars iraniens d’antan) et le caviar Maïlov (qui évoque les arômes des grands caviars sauvages russes) font courir le Tout-Bruxelles (et ses alentours…) au Marché des Chefs.

A l’occasion de deux journées événementielles organisées à l’initiative de Tatiana Mailian au « Windsor », à Luxembourg, et au « Bozar », à Bruxelles, le Marché des Chefs a permis à quelques virtuoses de la grande cuisine étoilée de composer des plats d’exception avec, toujours, le caviar comme fil rouge. Un pur régal pour les yeux, un vrai délice pour les papilles !

Aux fourneaux du « Windsor » grand-ducal, on retrouvait Jan Schneidewind, bien sûr, mais aussi Wolfgang Becker (« Becker’s »), Cyril Molar (« Ma Langue sourit »), Roberto Fani (« Ristorante Fani »), Paul Fourier (« Le Royal ») et Alain Pierron (« Les Roses »).

Et, dans les cuisines du « Bozar », Karen Torosyan partageait ses casseroles avec Pierre Résimont (« L’Eau Vive »), Stéphane Buyens (« Hostellerie Le Fox »), Alain Bianchin (restaurant éponyme), Jo Grootaers (« Altermezzo »), Luigi Ciciriello (« La Truffe Noire ») et Isabelle Arpin (restaurant éponyme).

Il y avait – comment dire ? – un parfum de magie dans les assiettes. Et les convives se régalèrent au gré de l’inventivité de ces chefs avec des plats improbables comme le caviar, saint-jacques de Dieppe farcies et beurre blanc, le caviar accompagné d’œuf de caille et de croustillant de pomme de terre ou le caviar, toast cannibale et langoustine. Le tout accompagné de vins choisis avec amour par Isabelle de Bordeaux, œno-sommelière exploratrice des harmonies. Le Pessac-Léognan, décliné de plusieurs façons, fut notamment très apprécié.

Qu’on se le dise : le caviar peut donc se déguster nature, à la cuillère. Mais aussi intégré – parfois tout simplement – dans des plats au gré des tentations. Avant la fête, c’est une invitation supplémentaire à la gourmandise…

Infos : www.caviarmailian.com et tm@caviarmailian.com

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