Le célèbre parcours de golf sera l’hôte de la prochaine Solheim Cup en 2023. Un honneur de plus pour ce resort de grand luxe qui conjugue l’art de vivre à tous les modes.


On ne présente plus « Finca Cortesin », unanimement reconnu comme l’un des plus prestigieux resorts d’Europe. Au sud de l’Espagne, sur la route de Casares, entre Marbella et Sotogrande, l’endroit propose aux privilégiés une expérience exceptionnelle avec un hôtel cinq étoiles de grand luxe, un spa de rêve, un beach club exclusif, des restaurants gastronomiques et, bien sûr, un parcours de golf à la fois manucuré et ultra-challenging. En vérité, « Finca Cortesin » réunit tous les atouts pour combler les golfeurs les plus exigeants. Il symbolise, dans un cadre de rêve et sous un soleil quasiment éternel, l’art de vivre. Et de bien vivre !

Le souvenir de Nicolas Colsaerts

Depuis sa création, en 2006, le parcours de Finca Cortesin a accueilli plusieurs grands événements internationaux de golf. Personne n’a oublié l’historique victoire de Nicolas Colsaerts lors du Volvo Match-Play en 2012. Au sommet de son art, le champion bruxellois avait survolé les débats, s’offrant l’un des plus beaux succès de sa carrière. Sa photo, trophée en mains, est d’ailleurs toujours accrochée au mur du club-house.

En 2023, le club andalou sera à nouveau sous les feux de la rampe. Il accueillera, en effet, la Solheim Cup, équivalent féminin de la Ryder Cup. « C’est un grand honneur d’être l’hôte d’un événement de cette dimension qui sera retransmis aux quatre coins du monde, et notamment aux Etats-Unis. Notre parcours se prête très bien au format de match-play et ce sera une magnifique vitrine », explique Francisco de Lancastre, directeur général du golf.

Dessiné par Cabell B.Robinson, avec l’aide du paysagiste Gerald Huggan, le championship course est très spectaculaire avec, pêle-mêle, des départs surélevés, des fairways pentus, des bunkers savamment placés, quelques obstacles d’eau et, bien sûr, des greens à la fois ondulés et très bien défendus. Il symbolise pleinement le « target golf » à l’américaine. Pour rentrer une bonne carte, il faut à la fois prendre des risques et faire preuve de stratégie.

el voyageur hédoniste n’a pas rêvé de mélanger les plaisirs du swing, de la gastronomie et de l’œnologie ?  Le « Peralada Resort » est cousu sur mesure pour répondre à ses attentes.

Posons d’abord le décor. Nous voilà dans la petite cité espagnole de Peralada, dans le cœur de la région d’Empordà, quasiment à la frontière avec la France. Barcelone et Perpignan sont à moins d’une heure de voiture. Et, au loin, on devine à la fois les contreforts des Pyrénées et le cliquetis des vagues de la Méditerranée.

C’est ici que le groupe Peralada, dirigé de génération en génération par la famille catalane Suqué Mateu, a pignon sur rue. Ou, plutôt, sur le village. Car la société est propriétaire à la fois du prestigieux château du XIVe siècle, du casino, d’un restaurant étoilé, d’un hôtel cinq étoiles, d’un golf, d’un musée et d’un somptueux domaine viticole.

Un parcours très spectaculaire

Quelques trous sont inoubliables. Le n°3, par exemple. Il s’agit d’un par 5 de près de 500 mètres. Le drive de départ n’est pas trop compliqué. Mais il faut, ensuite, bien doser ses coups pour toucher un green assez petit et ceinturé par un lac sur la gauche et par des bunkers sur la droite. Le n°7 est le plus long par 4 de la Costa del Sol (452m). Un vrai défi, surtout lorsque le vent est de face. Par 3 de plus de 200m, le n°10 est ultra-spectaculaire avec, en toile de fond, les montagnes d’Estepona. Le green, en forme de guitare espagnole, s’érige en casse-tête pour les putts selon la position du drapeau. Le n°13 (par 4 de 323 m) est probablement le plus scénique avec un départ en hauteur et un green magique balisé par les pins parasols. Une vraie carte postale. Enfin, le n°18 (par 5 de 519 m) est le « finishing hole » par excellence. Il est très apprécié des grands frappeurs qui peuvent tenter de toucher le green en deux coups en prenant un maximum de risques.

Du golf cinq étoiles

Finca Cortesin n’est pas un club fermé, genre Valderrama ou Real Sotogrande. Il est ainsi ouvert aux visiteurs désireux de s’offrir un pur moment de bonheur golfique. Certes, le green-fee est à la hauteur de la qualité des lieux (entre 260 et 320 euros, selon les saisons). Mais c’est le prix d’une véritable expérience.

Dès son arrivée au parking, le joueur est invité à laisser son sac à l’assistant de service. Il le retrouvera un peu plus tard déjà posé sur sa voiturette, au practice. Celui-ci, avec ses pyramides de balles, propose une vue sur toute la région !

« La philosophie de notre golf est celle d’un resort avec service cinq étoiles. Notre priorité est de permettre à nos visiteurs de vivre un moment magique. Les flights sont programmés toutes les 12 minutes pour éviter les embouteillages (maximum 100 joueurs par jour). Les voiturettes sont équipées de GPS de la dernière génération. Des fruits et de l’eau sont distribués aux joueurs tout au long du parcours. Et cinq tees sont disposés sur chaque trou pour permettre à chaque joueur de savourer le moment, peu importe son niveau de jeu », résume Francisco de Lancastre.

Soucieux de respecter les nouvelles règles environnementales, Finca Cortesin fait aussi office de précurseur dans l’entretien de son parcours. L’eau, nécessaire pour l’arrosage des fairways et des greens, est ainsi recyclée pour répondre à tous les paramètres écologiques. Le nouveau gazon bermuda, économe en eau, s’inscrit dans la même vision. Et même les machines servant à l’entretien du parcours sont hybrides. Comment s’étonner, avec cet écosystème, que la faune et la flore règnent en maîtres dans le resort avec notamment une multitude d’oiseaux exotiques.

Un resort de grand luxe

Oui, Finca Cortesin est une expérience différente. Pour les passionnés, le golf sert, bien sûr, de fil rouge. Mais les épicuriens en profiteront pour séjourner à l’hôtel. Dans ce resort dirigé de main de maître par René Zimmer, le moindre détail est soigné pour que le client se sente comme chez lui. Dès l’arcade d’entrée franchie, il se retrouve dans un autre monde où tout est taillé sur mesure pour qu’il profite de chaque instant. Ce n’est pas un hasard si le domaine collectionne, depuis son ouverture, les honneurs et les prix.

L’hôtel s’inspire de l’architecture traditionnelle andalouse, compte 67 grandes suites très lumineuses (de 50 à 200 m2) réparties à la fois dans le bâtiment principal – un vrai petit palais – et dans les 23.000 m2 des jardins. Sitôt les clés déposées au voiturier, le temps semble s’arrêter.

Rayon gastronomie, le petit déjeuner, proposé à la carte et en terrasse, donne le ton. Les trois restaurants s’inscrivent dans le même esprit : « El Jardin de la Luz » propose une cuisine méditerranéenne, « Rei », une table japonaise de très haut niveau et « Don Giovanni », une carte italienne décontractée. Le spa, d’une superficie de 2.200 m2 avec piscine climatisée intérieure et fitness, est un havre de paix où la déconnexion est automatique. Deux somptueuses piscines ceinturées de palmiers, un beach club très tendance, des courts de tennis et de padel complètent l’offre. Et un concept immobilier, avec des villas de grand luxe, permet aux plus hédonistes d’élire carrément résidence sur place ! 

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