Avec son climat ensoleillé, ses richesses culturelles et son ambiance tendance, la ville de Malaga est devenue «the place to be». Le prestigieux « Gran Hotel Miramar » est le lieu idéal pour poser ses valises dans cette «Barcelone du Sud».


C’est devenu l’une des villes les plus tendances d’Espagne. Malaga a longtemps été connue pour son aéroport, terre d’atterrissage de millions de touristes en route vers les célèbres stations balnéaires de la Costa del Sol, comme Marbella, Estepona ou Benalmadena. Mais aujourd’hui, plutôt que prendre la bretelle vers la côte, les connaisseurs épicuriens empruntent volontiers la direction centre-ville !

Malaga se suffit, il est vrai, à elle-même. Elle réunit tous les ingrédients pour combler les visiteurs épicuriens avec, au menu, un climat exceptionnel toute l’année (300 jours de soleil), une ambiance méditerranéenne certifiée conforme, une vie culturelle en plein essor et une offre gastronomique variée. « Malaga, c’est un peu le Barcelone du Sud. On y respire la même atmosphère et la même joie de vivre » résume Andres Guerrero, Directeur des ventes du Gran Hotel Miramar, le palace ultra-chic de la ville.

Une ville dans le vent

Avec son ADN 100% andalou, Malaga dégage un parfum enivrant avec ses ruelles, ses jardins manucurés et ses parcs fleuris où il fait bon flâner, son « paseo maritimo » le long de la Grande Bleue et son port où se mélangent bateaux de pêche, navires de croisières et yachts privés. La vieille ville est un hymne à l’ambiance du grand Sud.

Au gré de son humeur, le passant montera au sommet du Château de Gibralfaro pour s’offrir une vue bluffante sur la baie et la ville, découvrira l’étonnant théâtre romain et visitera l’Alcazaba, une forteresse de l’époque arabe, sorte d’Alhambra. Et il s’arrêtera, bien sûr, devant la majestueuse Cathédrale dont la flèche domine la ville.

Mais Malaga, c’est aussi une vie culturelle intense. On y recense ainsi plus de trente musées. Celui consacré à Pablo Picasso, au Palais Buenavista, est, sans doute, le plus réputé. Le célèbre peintre était originaire de la ville. Il était donc logique que celle-ci lui rende hommage avec douze salles où se retrouvent quelques unes de ses œuvres les plus célèbres, avec notamment les collections privées de Christine et Bernard Ruiz-Picasso, belle-fille et petit-fils de l’artiste.

Le Musée de l’Automobile (avec 90 voitures classiques de la collection du Portugais Joao de Magalhaes), le Musée Carmen Thyssen (avec des expositions de peintres espagnols et andalous) et le Centre Georges Pompidou (prolongement décalé de celui de Paris) sont d’autres haltes incontournables.

Mais, répétons-le, Malaga c’est d’abord un état d’esprit. Une atmosphère. Mélange de tapas et de trottinettes, de farniente sur la plage et de « musica » jusqu’au bout de la nuit. C’est une ville inspirante qui bouge de jour comme de nuit. Il faut donc se laisser happer et guider par la magie intense du moment. Facile à décrypter, sensuelle, glamour, latine à mourir,  à la fois ancienne et moderne, typique et atypique, elle ne laisse jamais indifférent.

Gran Hotel Miramar

Le Gran Hotel Miramar est « the place to be » pour savourer cette immersion andalouse. Ce palace cinq étoiles, étiqueté « Leading Hotels of the World », est idéalement situé le long de la mer, à quelques pas du centre historique. Avec son Spa, son restaurant gastronomique, sa piscine extérieure et, haut perchée, sa terrasse panoramique à la vue imprenable, il est devenu « le » rendez-vous  à la fois pour boire un verre ou pour séjourner sur la durée. Le Miramar à Malaga, c’est un peu le Carlton à Cannes ou le Negresco à Nice. 

Inauguré en 1926 (sous le nom de « Prince des Asturies ») par le Roi Alphonse XIII et fréquenté à la fois par l’aristocratie espagnole et les touristes fortunés anglais, il servit d’hôpital, dix ans plus tard, pour les blessés de la Guerre Civile. Rénové en 1939, l’hôtel Miramar retrouva rapidement son lustre dans les années cinquante. Ernest Hemingway et Ava Gardner, clients réguliers, participèrent notamment à sa renommée mondiale.

Au début des années soixante, le développement des stations balnéaires voisines, comme Torremolinos ou Marbella, plongea subitement Malaga dans l’ombre. Délaissé, le Miramar tomba en faillite en 1967. Il renaquit de ses cendres vingt ans plus tard comme siège provisoire du…palais de justice. Ce n’est qu’au début de l’année 2017, après une rénovation complète (65 millions d’euros d’investissements) que l’édifice retrouva sa vocation initiale d’hôtel de luxe.

Désormais propriété du groupe « Hoteles Santos », le Gran Hotel Miramar a conservé sa majesté d’autrefois, à l’image de sa somptueuse façade immaculée. Cet établissement grand luxe propose 190 chambres et suites avec, pêle-mêle, des vues sur la mer, les jardins ou la ville.  Le Spa Wellness invite à la décompression avec son circuit thermal, son sauna et sa carte de soins. Salons d’époque, brasserie, restaurant méditerranéen, terrasse panoramique au septième étage pour l’apéro branché : il ne manque rien pour savourer pleinement cette ville du XXIème Siècle. D’autant que le golfeur pourra, dans les environs, étancher à satiété sa soif de birdies et échanger, sur les greens, le flamenco par le swing. Alors, oui, l’expérience « malagueña” vaut clairement le détour !

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